Résolution, piège à c**** ?

Depuis que je suis en âge de comprendre ce qu'est une résolution, et donc d'en faire, je crois ne m'y être jamais risquée. Etre moins, être plus, faire mieux, faire pire, j'ai toujours refusée de m'obliger ou de m'interdire des choses (autrui le faisant déjà très bien) pour la simple et bête raison que mon agenda indique une autre année. Mais hier, dans mon lit, cherchant le sommeil en discutant avec moi-même, j'en ai pris une (résolution n°2 : ne jamais discuter avec soi-même) ... J'ai pris la résolution que Diam's pourrait énoncer en ces termes : "pas touche à mon vagin si t'as pas l'béguin / pas touche à mon clito si j'tai pas dans la peau". En termes plus passe-partout, j'ai donc pris la résolution de ne pas faire l'amour sans amour. Une façon de le faire venir, conclus-je après une rapide autopsychanalyse. "Ta gueule", m'autorépondis-je. Je m'executai sans broncher et parvins à m'endormir après la lecture d'un article du Nouvel Obs sur comment les Roumains venant travailler au black dans l'Union Européenne se font trop exploiter.

A part ça, journée calme. Dans deux semaines, Andrea fait une fête pour son anniversaire. Elle veut une fête disco (c'est elle qui a choisi). Il fallait faire une invitation, donc on a cherché des images en rapport sur Google. J'ai fait un petit photomontage pour mettre sa tête. On a imprimé tout ça aujourd'hui et fait des enveloppes en aluminium pour rappeler la boule à facettes. Disco, j'vous dis. Ca donne ça :

Mais je sens que vous êtes en manque de Regina Spektor (et je vous comprends). Aujourd'hui dans vos oreilles ce sera "Love Affair" (sur son dernier album "Begin to hope") et je précise que ça n'a rien à voir avec la résolution !